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Daniel Bouchard
26 juin 2009

Éducation : un « mur de la honte » à Sablé

Pour les Fertois et autres du département qui n'aurait pas été au courant de cet manifestation 


Éducation : un « mur de la honte » à Sablé

Mais est ce que Fillon a tenu ,va tenir compte de ce mur de la hont fait pas des manifestants qui défendaient ,défendent les auxiliaires et employés de vie qui seront licenciés dès le premier juillet ?

Nous l'avons bien vu que non ,qu' il est comme Sarkosy qu'il se fou éperdument de l'enseignement ,des enfants qui vont à l'école  ;il est comme son chef ce n'est que sa personne qui compte et laheureusement ils sont beaucoup comme cela à droite

Le Président du M.D.C.




 

  Éducation : un « mur de la honte » à Sablé

Les manifestants ont constitué un mur de la honte en façade de la mairie de Sablé-sur-Sarthe. 

  La manifestation visait à rappeler au Premier ministre la précarité des auxiliaires et employés de vie scolaire.

Ils sont venus de tous les départements des Pays de la Loire : une centaine de manifestants, qu'ils soient enseignants, auxiliaires ou employés de vie scolaire (EVS), parents avec leurs enfants. Hier, dans le fief du Premier ministre, devant la mairie de Sablé-sur-Sarthe, ils ont symboliquement dressé « un mur de la honte », affichant les portraits de ceux qui sont en sursis ou seront au chômage à partir du 1er juillet.

Le mot d'ordre ? Dénoncer la précarité de ces salariés de l'Éducation nationale, montrer l'incompréhension face au turnover. Les postes restent, les personnes référentes non. « C'est intégrer des enfants (grâce au soutien scolaire) pour désintégrer desadultes », résume Sophie Viaud, directrice de l'école à Voivres-les-le-Mans. « Nous attendons une réponse pour une audience à Matignon ou au ministère de l'Éducation nationale. Le Parlement européen, lui, a considéré notre pétition nationale et va saisir l'État français », a souligné Muriel Michelin, présidente de l'union nationale des collectifs EVS.

  Coralie RONCERAY-CHARRON.

  Ouest-France

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